Erillith war
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Sur le continent d'Erillith, une guerre déchire deux nations. Des sectes s'élèvent pour prendre le pouvoir, d'antiques magies apparaissent... Et comme si ça ne suffisait pas, vous êtes ici pour changer le destin du monde...
 
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 De passage à L'Atticus

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MessageSujet: De passage à L'Atticus   De passage à L'Atticus I_icon_minitimeSam 20 Sep - 23:17

L'Atticus est pour le commun des mortels l'ultime rempart qui se dresse face à la folie des mages. Pour ces derniers, ce n'est rien de plus qu'une prison dirigée d'une main de fer par les chasseurs de mage. Cependant, il existe une infime partie de la population pour qui l'école de magie représente une belle opportunité : coupés de tous les mages et leurs geôliers ont toujours besoin de quelque chose... C'est pour répondre à leurs besoins que la ville d'Ormefier vit le jour. Placée sur l'unique axe routier reliant Lurasque et l'Atticus, à moins de deux jours de celles-ci et pour cause la volonté manifeste de l'union d'isoler les mages du reste de la population.
Azhil Tilnan est, sans aucun doute, un des marchands ayant le plus profiter de l'isolation des mages. Sa boutique est une des plus prospère d'Ormefier, tous passait par son échoppe pour se procurer ce qu'il désirait : chasseur de mage à la recherche de cristaux pour son armure, mage en manque d'ingrédients, curieux cherchant des antiquités ou tout simplement voyageurs voulant s'approvisionner. Azhil a tout pour tout le monde ! Néanmoins, le marchand sentait que la poule aux œufs d'or allait arrêter de pondre. L'union commençait à voir d'un mauvais œil la proximité d'autant de marchands autour de l'Atticus. Il y avait fort à parier que d'ici un an ou deux tout Ormefier soit sommer de partir. « M'enfin se disait-il toutes les grandes épopées commencent avec un coup de pied au cul. ». Il avait racheté plusieurs scieries, abandonné à cause de la guerre dans les environs. Pour ce qui était de la main d'œuvre, il remercia les huit d'avoir mit cet elfe et ses trois filles sur son chemin. Le continent devait regorger de gens qui comme elle désirait démarrer une nouvelle vie.
« Peleva... » Dit-il

-Vous m'avez appelez monsieur ? Demanda l'elfe en question en sortant du cadre de la porte du bureau du marchand. Azhil n'aurait su dire s'il l'avait consciemment appelé ou s'il s'agissait des divagations de son esprit, mais tant qu'elle était là autant qu'elle se rende utile.

-Allez me chercher mon bon à rien de fils, je vous prie.  Lui ordonna-t-il.

-Très bien monsieur.

« Si seulement certain avait ne serait-ce que le quart de la bonne volonté de cette femme, la guerre serait déjà finie » pensa le marchand.

Peleva sortit de l'échoppe et marcha vers l'autre bout de la ville où se tenait la taverne où Assad Tilnan perdait le plus clair de son temps et de son argent. Les habitants d'Ormefier avaient un point de vue sur les étrangers bien différent du reste du continent : l'étranger est un potentiel client, plutôt qu'un ennemi, et tuer à vue un client fait mauvais genre. C'est ce pourquoi les autochtones ne s'en prenaient pas ouvertement à l'elfe et à ses filles lorsqu'elles se trouvaient dans les rues. Marchait en ville lui rappelait l'époque ou Ivaldin n'était qu'un simple soldat et non un seigneur, elle pouvait déambuler dans les rues sans que les sujets de son mari ne lui doivent la révérence « Tout était plus simple à l'époque. ». Cependant, son anonymat n'était pas total, presque tout Ormefier là connaissait-elle, ses filles et son histoire. Celle qui perdit tout : maison et mari par la guerre. L'elfe arriva devant ce haut lieu de villégiature qu'était l'auberge du renard pervers. Connue pour sa bière coupée à l'eau et ses clients célèbre tels que Glade la pie, Ald'fhun le siffleur et Jäger le chef d'orchestre. Peleva n'apprécier guère passer du temps dans cette partie de la ville. Les gens y étaient plus enclins à échanger votre bourse contre coup de couteau plutôt que contre des marchandises. De plus, une bonne partie des gardes avait été appeler en renfort sur les champs de bataille, ce qui n'arrangeait rien à la sécurité du quartier. Un des rares gardes encore en poste vint lui demander ce qu'elle faisait dans cet endroit. « Vous avez pertinemment pourquoi je suis là Delsin. »

-Assad...

Le garde Delsin était quelqu'un de bien promit à un grand avenir, il lui rappelait son mari. Elle passa la porte de l'établissement malgré les protestations du garde. L'air de la taverne était rempli des vapeurs d'alcool et des beuglements des ivrognes. Assad était attablé, une serveuse sur les genoux, riant avec d'autres soiffards. Tout le monde en ville se demandait comment le petit marchand rondouillard avait, il put engendrer un lion aussi colossal. À l'arrivée de Peleva, il lui dit « Ce que je fais avec mon argent ne vous concerne pas. Ni mon père d'ailleurs. »

-Si vous souhaiter dilapider tous vos biens en alcool et en fille facile grands bien vous fasse, mais votre père vous demande et cela semble important.

Le felyne se résigna à se lever et à suivre l'employer de son père. Dehors de nombreuse personne s'était rassembler la grande porte qui donnait sur la route de l'Atticus. Un groupe de chasseurs de mage qui escortait plusieurs prisonniers. Un en particulier retint son attention. Il portait l'armure ancestrale des Olkhiels, une seule personne pouvait, devait, se trouver sous cet acier. Elle interrogea son voisin sur ce qu'il se passait : l'Atticus était bouclé, nul ne pouvait y pénétrer pas même les chasseurs. Cependant, il n'avait nul part où loger les mages et personnes ne voulait les prendre chez lui. Voyant là son unique chance de retrouver son mari, elle avança dans la foule, mais fut arrêter par Delsin « Enfin Peleva, vous n'y pensez pas. S 'ils s'échappent, vous serez traqué comme eux, pensez à vos filles. » C'était bien pour ses filles qu'elle se défit de l'étreinte du garde et proposa d'héberger les mages. Ils furent escortés au logis de l'elfe et il fut convié que les chasseurs reviendraient après la fin du bouclage et que les armes des mages leur serraient restituer ou non suivant leur entretient avec le premier enchanteur. Elle se tourna vers le garde Delsin et lui demanda « Delsin, je vous prie d'amener Assad à son père, je dois m'occuper de mes invités. »
La petite maison de l'elfe était austère et proposait un confort réduit. « Je n'ai guère qu'un peu de pailles et un bout de plancher à vous offrir, mais vous aurez au moins un toit au dessus de la tête. Mes filles seront rentrées d'ici le dîner. »
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Bob
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MessageSujet: Re: De passage à L'Atticus   De passage à L'Atticus I_icon_minitimeSam 27 Sep - 11:59

-... Hmpf ...
-Comment ça "hmpf"? Tu ne vas pas bien ? Demanda Ivaldin
-Nan rien trois fois rien ... Répondit Bob
-Arrête-t-il quelque chose qui te tracasse.
-Et bien, je me disais qu'il allait pleuvoir et que je ... Oh attend...Bien sûr qu'il y a quelque chose qui me tracasse, attardé, tu sais actuellement on est des pri- ? Des priso-? Bon aller, je t'aide des prisonniers.
-Oui, mais ...
-J'ai laissé cette andouille me suivre en plus, je me suis dit "aller Bob au pire, il servira de bouclier humain" mais non en fait ce gars porte une armure qui y a comme signification "Youhouuuuu je sais faire de la magie m'sieur l'agent, maintenant défoncé moi" ?. Ajouta Bob avec un ton ironique.
-La ferme, toi, tu nous prends la tête à beugler. Aboie un garde à Bob.
-Mais par pitié, dite à cet homme que sa connerie dépasse l'entendement humain, c'est criminel à ce niveau-là. Dites-moi que vous allez l'inculpé avec ça comme motifs en plus.
-T'es vache quand même ...

À peine sortit du territoire du traité, que Bob et Ivaldin tombèrent sur un groupe de chasseur de mage. Attaqué par surprise et n'ayant rien vu venir, vu que le motif d'inculpation semblait viser Ivaldin, Bob quant à lui avait plonger pour compliciter, malgré le fait qu'il protesta violement u'il ne connaissait pas le mage. Le fait d'avoir casé un nez en signe de protestation n'aide pas à prouver son innocence malheureusement. Alors qu'ils avaient été capturés, ils rencontrèrent Azur, le dit homme n'était guère causant dans le style :

-"Hey au fait comment tu t'appelles ?" Dit Bob.
-"*raclement de gorge*"
-"C'est un prénom ça ?"
-"*raclement de gorge*"
-"Mais il est déguelasse ce bruit!"

Il avait été trainé su plusieurs kilomètres dans le territoire humain. Au bout de plusieurs jours de marche, ils arrivèrent dans un petit village. L'aspect guilleret de l'endroit remémora la belle époque de Bob. Il avait toujours préféré les petits villages aux grandes villes, surement l'aspect communautaire plus chaleureux. Soudain Ivaldin le va la tête et prit un air enjouer.

-"Hey, mais je connais cet endroit."
-"C'est là où tu t'es rendu compte que t'as vie n'avais pas de sens ?"
-"Ma femme et mes gosses sont peut êtres pas loin, j'espère les voire.
-"Bons dieux, il s'est multiplié ...

Le groupe s'arrêta alors qu'il recherchait un endroit ou stocker les prisonniers. Une femme s'interposa proposa sa maison comme prison aux détenus.

-"C'est ma femme !!!" Dit Ivaldin à voix basse.
-"C'est bête, on aurait pu loger à pire endroit ..."

On installa les prisoniers dans le sellier, les prisonniers furent ligoter solidement les uns aux autres. Tard dans la nuit Peleva entrât dans le sellier prétendant apporter de l'eau aux prisonniers. Elle se rua immédiatement sur son mari.

-"Bon et dit moi toi et si on faisait un brin de causette j'ai pas envie de tenir la chandelle."
-"*raclement de gorge*"
-"Ce bruit est immonde."
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Ivaldin Olkhiel

Ivaldin Olkhiel


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MessageSujet: Re: De passage à L'Atticus   De passage à L'Atticus I_icon_minitimeDim 12 Oct - 17:46

Tout ceci prenait une tournure qui ne plaisait guère à l'ancien duc. Capturé, mais surtout obliger de voyager avec Bob qui ne cessait de geindre et de l'accuser de tous les maux du monde. Ainsi, il jurait a qui voulait bien l'entendre qu c'était Ivaldin le responsable de leur capture (et probablement du manque de chaussure pour les orphelins). Alors que selon le principal accusé dans cette triste affaire, c'était Bob, ses cheveux longs, ses tatouages, ses hordes d'ennemis puissants et la proportion phénoménale du bricoleur à s'attirer les ennuis, qui leur collait au mieux une réputation d'anarchiste au pire celle de dangereux criminels. Malgré toutes les tentatives d'Ivaldin pour régler ce conflit, le bricoleur resta imperméable à toute discussion.
En cours de route, les chasseurs de mages arrêtèrent un autre mage égaré. L'infortuné semblait s'exprimer uniquement avec des raclements de gorge des plus effroyable. Ive put s'empêcher de penser que les huit faisaient parfois bien les choses, puisque cette région était censée être sa prochaine destination. Bien que personne ne soit enclin à laisser une bande de mages renégats partager son logis. Du moins jusqu'à qu'une femme s'extraie de la foule et propose de les héberger. L'ancien seigneur ne put se résoudre à croire ses yeux. La femme dont il avait rêvé pendant deux longues années se tenait devant lui. Sa quête touchait arrivait enfin à son terme.
Les trois mages furent jetés dans le cellier de la petite maison, pieds et poings liés. Cette nuit Peleva se glissa dans le cellier pour embrasser son mari et lui susurrer à l'oreille ''O shar'as Shi'el '' avant de déposer un nouveau baiser sur ses lèvres.
'' Excusez-moi de vous couper l'envie d'avoir un héritier, mais si vous pouviez convaincre vos prestigieux invités de bien vouloir nous détacher ça serait sympathique.'' Demanda Bob s'apercevant que l'autre prisonnier en armure n'offrait comme perspective de discussion que le même immonde raclement de gorge.

-Vas-y. Dit Ivaldin. Je veux serrer nos filles dans mes bras.

L'elfe monta à l'étage plongeant ainsi la pseudo-cellule dans le silence pour de longue. Elle revint plus tard pour défaire leurs liens, "vous avez interdiction de quitter la ville et de rien faire de stupide, de plus il vous surveillera en permanence."
Ivaldin se précipita dans la chambre de ses filles. '' Papa !'' S'écria Amiel dès son entrée. Sans doute réveillé par l'acier de son armure, réveillant ainsi ses deux sœurs. Il embrassa chacune de ses enfants et leur promis que bientôt tout allait s'arranger avant. À ce moment Ivaldin était le plus heureux des hommes. Il sentait que tout pouvait redevenir comme avant ces deux ans de calvaire. Cette nuit là, il partagea le lit de sa femme alors que les deux autres mages n'eurent pour couche qu'un peu de pailles sur le sol de la chambre des filles. Alors qu'il retirait son armure Pauline remarque les stigmates de son emprisonnement dans le donjon des Peleva. Elle se demanda s'il était possible de le questionner à ce sujet, avant de se jeter à l'eau. '' Comment as-tu tenu en prison ?''
-J'en sais rien, Peleva pensait que je savais où vous étiez, il m'a fait torturer pour que j'avoue où vous étiez censé vous trouver. J'ai résisté autant que j'ai pu et lorsque j'ai finalement craqué et que j'ai avoué que je ne savais rien, il a persisté... Ma survie tient de la chance ou de la volonté des dieux. Tout ceci n'a plus d'importance maintenant.

-Qu'est-ce qu'on va faire maintenant ?

-Nous allons reprendre nos terres et reprendre, tout va redevenir comme avant. Je te le promets. Réponds l'ancien duc à sa femme. Il surprit de l'inquiétude dans le regard de l'elfe qu'il y a-t-il

- Il leur faut un percepteur. Lui révéla-t-elle

-Tu penses à ton père ?

-Non, ça fait des années qu'il a disparu et ça m'étonnerait qu'il puisse leur apporter plus que nous pouvons leur donner. Non, il nous faut quelqu'un de meilleur encore.

-Nous trouverons, mais avant nous avons un château et de terre à reprendre. Conclut-il avant d'embrasser une dernière fois sa femme et de s'endormir d'un lourd sommeil réparateur et paisible.
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