Atlanéa Lance-de-lumière

Métier : Protectrice de son sauveur : Svanhilde Thorkildòttir

Age : 22 ans

Camp : Neutre

Race : Humaine

Description physique :
Bien qu'elle semble chétive il ne faut pas sous estimer cette jeune humaine, sa fine silhouette lui permet une agilité assez surprenant pour une humaine.

Elle possède de long cheveux bruns qui lui arrivent en dessous des épaules, des yeux bleus comme l'océan nord d'Erilith dans lequel de nombreux hommes se sont perdus.

Sa fine silhouette est moulée par un impeccable armure aux couleurs or et argent faite d'un métal assez rare mais très résistant, qui protège son corps mais laissant sans protection son visage et ses cuisses, mais personne n'atteindra jamais ces parties de son corps, elle se mouve telle un serpent et jamais le laisse passer une arme entre sa lance et son corps. Elle possède également une cape blanche cette dernière est faite dans un tissus ignifugé qui lui vient de ses parents adoptifs.

Sa lance est une arme de fabrication Zendik, elle a été fabriquée de telle sorte que lorsqu'on le souhaite le manche de l'arme se rétracte pour en faire une épée, plus facile à transporter et surtout retirant le problème de la grande allonge qu'une lance peut occasionner.


Description psychologique :
Atlanéa est une femme qui œuvre pour la justice, elle s'était engagée pour faire respecter l'ordre sur Erilith, pas pour faire la guerre mais pour apprendre aux hommes comment vivre en paix même si cela donnerait lieu à des morts.

Elle agit toujours pour l’intérêt du plus grand nombre même si cela peut mettre sa vie en grand danger.

Après son engagement elle aperçue qu'elle avait rêvée cette vie, l'armé l'a déçu elle ne pouvait plus vivre avec ces brutes qui pillent, tuent et violent, elle vécu cette souffrance pendant trois ans avant de ne plus pouvoir le supporter, elle s'enfuit un soir où la lune était cachée par les nuages.

Histoire :
Atlanéa est une femme humaine née dans la cité de Zendikar, c'est une cité état du sud du continent qui n'est sous la domination d'aucun camp que ce soit l'union d'argent ou le traité du saphir mais les sectes n'y sont pas présentes car totalement prohibée dans les murs de la ville, cette ville est dirigée par trois guildes chacune représente trois valeurs : la Justice, la Destruction et la Mort, ces trois guildes se partagent le gouvernement, la Justice les taches administrative et les jugement, la destruction s'applique à faire régner l'ordre et surtout à administrer les sentences, quand à la Mort elle se charge des morts de la ville ainsi que de la religion de la ville, chaque guilde est dirigée par un Seigneur qui siègent au Conclave, l'administration suprême de la ville.

Le décor ainsi posé, voici l'histoire de cette femme, donc Atlanéa tel est son nom, bien que peu banal pour une habitante d'Erilith, mais à Zendikar rien de plus normal, assez surprenant Atlanéa est la fille de l'union de deux êtres venant de la Justice et de la Destruction, bien que cette union soit prohibée dans Zendikar. Ce mariage affecta énormément la jeune Atlanéa qui fut élevée avec les deux doctrines, d'un côté une volonté d'aider le peuple lui venant de son père appartenant à la Justice et de l'autre côté un tempérament guerrier qui lui venait de sa mère qui suivait le dogme de la Destruction.

Jeune enfant elle faisait déjà preuve d'une remarquable habilité avec les armes à allonge, elle jouait souvent avec des garçons plus vieux qu'elle et à chaque combat elle revenait à la maison avec quelques bleus, alors que les autres enfants rentraient avec des contusions qui les faisaient souffrir jusqu'au lendemain. Mais un jour les jeux durent cesser, bien que sa famille vivait cachée et ne se montrait jamais son appartenance aux deux guildes la milice de la ville vient un jour toquer à leur porte après un interrogatoire long d'une semaine, les parents d'Atlanéa avouèrent leur union et l'existence d'une fille née de ce mariage prohibé. Les gardes cherchèrent Atlanéa pendant trois longs mois avant de se dire qu'elle était morte de faim dans les quartiers bas de la ville.

Elle avait simplement trouvé une famille d’accueil avant que les gardes ne reviennent la chercher, cette famille était celle de Dalens, l'unique garçon qu'elle n'arrivait pas à battre durant leurs jeux enfantins, c'était une famille de la Destruction, dans cette famille Atlanéa reçu tout l'enseignement martial qu'elle souhaitait en effet le père est un des plus proches protecteur du Conclave, elle passa quelques années dans cette famille à recevoir l'enseignement qu'elle souhaitait, mais elle sentait un grand vide au fond d'elle ses parents lui manquait énormément et bien qu'elle avait trouvé une nouvelle famille elle n'arrivait pas à combler ce vide en elle.

C'est pour cette raison qu'un jour du mois de Fauche-blé elle décida d'aller voir ses parents dans les prisons de la ville, arrivée au poste de garde elle regarda autour d'elle, chercha le garde le moins éméché et lui demanda si elle pouvait voir des prisonniers, les gardes lui demanda quels prisonniers voulait-elle voir, elle lui répondit :

- Un homme et une femme mariés, leur union était interdite

- Ah je vois de qui vous parlez, malheureusement une maladie a emporté nombre de nos prisonniers, il me semble que ces personnes que vous cherchez soit morte dans ce drame, Ernos ! Les mariés ? Ils sont morts pendant la maladie ?

- Euh... Ouais il me semble pourquoi ?

- Ben il y a une jeune demoiselle qui voulait les voir, mais d’ailleurs pourquoi vouliez vous les voir ?

Elle ne sut pas quoi répondre, les mots que lui envoyait son cerveau ne voulaient pas sortir de sa bouche et elle s'enfuit en courant, passa chez sa famille adoptive et se mit à pleurer toutes les larmes de son corps, ce jour elle fit le serment d'être l’incarnation d'une justice vengeresse, elle rendrait la justice par les armes.

Plus tard quand elle atteint sa majorité elle dut choisir, soit rester vivre dans la cité et choisir une guilde soit partir de la ville pour trouver ou pas une vie meilleure sur le continent, plus rien ne la rattachait à Zendikar et elle choisit de partir explorer ce nouveau monde qui était à l'extérieur des murailles de la ville. Famille adoptive ne fut en rien surprise par son choix mais pendant des années elle avait élevée cette jeune fille lui avait donné son amour bien qu'ayant déjà un enfant. Le père lui fit jurer de ne pas mourir dans un combat qui n'est pas le siens, pour cela il fit fit faire une armure en Iril, l'unique métal que l'on extrait des mines de Zendikar et qui se vendait plus de 200 pièces d'or la livre, car les propriété résistantes de ce métal ne sont égalées que par les métaux de nains, en plus de se magnifique présent il lui offrir un objet qui appartenait à leur famille depuis plusieurs générations, une cape ignifugée fabriquée dans une fibre que seuls les plus anciens se souviennent de leur conception.

Son ami Dalens, lui offrir son arme, il allait pouvoir s'en faire fabriquer une autre alors qu'importe s'il pouvait aider son amie, cette arme est une lance de fabrication Zendik, le manche se rétracte et s'allonge suivant l'envie de l'utilisateur, des mécanismes complexes sont mis en jeu tel qu'aucun être vivant à extérieur de Zendikar ne peut le comprendre.

Atlanéa se retrouve donc devant l'unique porte qui permet de sortir de la ville, sans même un regard en arrière elle parti. Après avoir marché une quinzaine de kilomètres elle se fit la remarque qu'elle ne connaissait pas ce nouveau monde qui s'ouvrait à elle. Elle continua encore un peu et arriva dans un village, elle chercha l'auberge et demanda son chemin bien quel ne savait pas où aller, l'homme lui apprie qu'une guerre se déroulait en Erilith et qu'en ce moment la plus proche manifestation de ce carnage prend place à la cité d'Esterash.

Un bon combat l'enchantait, de plus il y avait sans doute des personnes à aider et c'était de son devoir de sauver les personnes liées à cette guerre mais qui ne pouvait se défendre seules. Elle demanda sa direction à l'aubergiste qui lui offrit une nuit, il pensait que ça serait sa dernière. Le lendemain elle partit à l'aube et atteignit le siège peu avant la nuit, elle fit une paillasse avec ce qu'elle trouva et tenta de dormir pour être en forme pour le lendemain.

A partir d'ici l'histoire de Svanhilde Thorkildòttir et celle d'Atlanéa se recoupent :

A l'aube elle se prépara à ce nouveau combat, dès qu'elle fut prête elle chercha un moyen d'entrer dans la ville, un immense pan de mur était effondré et il semblait que personne ne passe par cet endroit, bien que c'était étrange Atlanéa se lança vers cette ouverture, à la base de cette cassure, il y avait de nombreux débris et sous ces débris des corps de jeunes soldats, cette vision rappela à Atlanéa qu'elle devait protéger ces gens, même si elle était seule c'était son devoir, ainsi elle se lança dans l'escalade des plus grands blocs son armure ne la gênait pas tant elle était près du corps, elle ne se posa aucune question, tellement elle était poussée par l'idée d'un combat, lorsqu'elle arriva en haut des blocs et qu'elle s'aperçut qu'on l'on ne pouvait passer qu'un de front par le petit passage qui s'ouvrait devant-elle, elle y avança prudemment, l'espace entre les parois était si étriquée qu'elle devait passer de côté.

Qu'elle ne fut pas sa surprise quand elle arriva à la fin du tunnel, elle prit un carreau d'arbalète au travers de l'épaule gauche, ça faisait moins d'une semaine que cette armure était en sa possession qu'elle était déjà abîmée. Le carreau avait pus la transpercer car il était très effilé et surtout très rapide. Le choc dans son épaule l'envoya à terre et sous son nez apparut trois lances. Un cri retenti au loin :

- Baissez vos armes, vous voyez bien que ce n'est pas l'une des leurs !!!

Les trois gardes venaient de remarquer leur méprise et l'arbalétrier commença une long série d'excuse avant d'être arrêté par l'homme qui avait crié. Il se nomma Cormar et dirigeait la protection de l'aile ouest, il se précipita sur la femme et cria :

- UN MEDECIN ! j'ai besoin d'un médecin immédiatement !

Aucune réponse les gardes étaient paralysés d'avoir tirés sur une innocente. C'est alors qu'une jeune femme approcha, elle avait la peau couverte de tatouage, un cercle d'un métal semblable à l'argent empêchait ses cheveux de lui tomber devant les yeux et une énorme gourde était attachée sur son dos elle ne semblait l’encombrer en aucun cas, à son arrivée elle prit la parole :

- Écartez, vous je vais m'en charger.

- Merci de vous charger d'elle, je n'ai jamais réussi à prononcer votre nom alors madame je vous laisse vous occuper d'elle.

- Merci, j'ai besoin d'une civière pour la transporter à l’abri.

- Merci, mais je pense pouvoir marcher

Juste après avoir prononcés ces mots sa tête tomba sur le sol d'un bruit mat, l'étrange femme demanda qu'on lui apporte cette civière plus vite que ça et elle l’emmena loin des gardes qui restaient ici juste pour voir ce qui se cachait sous cette armure.

Svanhilde demanda à ce que l'on dépose la civière dans une maison proche et les soins commencèrent, Atlanéa se réveillait de temps en temps balbutiait quelques mots et retombait dans un sommeil agité. Mais l'armée du Traité entra dans la ville et Svanhilde n'eut d'autre choix que de déplacer Atlanéa, elle alla chercher deux gardes pour transporter la civière et se dirigea vers le quartier populaire, l'armée ne les cherchera pas là-bas se dit-elle. Leur nouvel abri : une boutique calcinée dont les murs tenaient toujours debout on ne sait par quel miracle.

Svanhilde avait raison l'armée du Traité les laissa tranquille et Atlanéa fut sur pied moins d'une semaine plus tard, ne cherchant pas prendre une nouvelle flèche elle décida de fuir cette ville, Svanhilde qui avait vécu ici depuis son départ de sa tribu voulu rester plus longtemps pour aider les gens dans le besoin mais Atlanéa lui dit :

- Vous m'avez sauvé, sans vous ma vie se serait arrêtée en haut de ces murs, sans vous ma vie aurait été en danger alors que vous vous occupiez de moi, sans vous ou même avec vous Esterash ne signifie plus rien c'est une ville rayée de la carte. Je vous offre ma vie et mon arme, puissions-nous vous protéger, que vous restiez ou partiez nous vous suivrons.

A ces mots Svanhilde ne sut que répondre elle avait toujours aidé ceux qui étaient dans le besoin sans jamais rien demander en échange et voici qu'une inconnue parmi d'autre lui offrait sa vie, bien qu'elle voulait rester à Esterash elle sentait qu'elle n'avait plus rien à faire ici, qu'on allait avoir besoin de son aide ailleurs.

- Partons de cet endroit alors, de toute façon je n'y ai plus ma place.

- Bonne idée mais où aller, je viens d'arriver sur le continent et je n'en connais pas la géographie.

- Ça ne fait que quelques mois que je vis ici je ne sais pas bien où aller non plus, trouvons une auberge sur la route sans doute que nous pourrions y trouver quelque chose à faire, mon nom est Svanhilde et je viens de très loin dans le nord.

- Atlanéa, j'habitais une cité du proche d'ici mais j'ai décidé de rompre tout les ponts avec mon ancien passé.

- Heureuse de vous connaître enfin, s'occuper de quelqu'un dont on ne connaît pas le nom est assez surprenant.

Elle se dirigèrent alors vers un village proche, sans doute désormais sous la domination du traité.

D'où connaissez vous le forum? : J'ai cherché j'ai trouvé
Description personnelle : Jeune amateur d'heroic fantasy, mage de 12ème niveau ordonnateur de la béatitude de Swimaf et je vais un peu loin dans mon délire
Acceptez vous que votre fiche de personnage ainsi que les écrits que vous posterez dans la zone RP soient réutilisés dans une création d'un Admin ?: Oui
Sur ?: Oui
Vraiment Sur ? parce que sinon faut le dire: Oui
Ça vous énerve toutes ces question hein ? : Non

HAAANNNN comment il a esquivé la question du pikachu !

Mesdames, mesdemoiselles, messieurs,

J'ai l'honneur de vous annoncer un changement dans l'image d'Atlanéa, en effet cette dernière vient de se prendre un jet d'acide dans de visage, il y eut deux effets à cela, la première, elle n'a plus de visages et donc ne peux plus le montrer, Svanhilde lui en fabriqua un que personne ne pourra enlever et qui cache donc ce monstrueux visage qu'est désormais le sien.

Du peu d'il restait de son armure Atlanéa a récupéré quelque morceaux, le village lui a offert d'utiliser la forge et la tannerie, ainsi, elle put se forger une nouvelle armure, plus légère, mais laissant moins de parties protégées. La lame de sa lance fut aussi plongée dans l'acide et il n'en reste plus rien, ne pouvant se résigner à être désarmée, elle se servit encore une fois de la forge et fabriqua une dague d'une quinzaine de centimètres, se rendant aussi à la tannerie, elle confectionna un bracelet de cuir qui lui permettrait d'y installer sa dague (comme sur l'image en fait).
Elle a aussi teint sa cape en noir pour refléter son état d'esprit, elle la porte non plus sur ses épaules mais sur ses hanches, pour symboliser une certaine déchéance.

Deuxième effet de cette perte est qu'Atlanéa est à changer d'état d'esprit, elle n'est plus cette femme qui voulait voir du monde et combattre, elle s'est énormément renfermée sur elle-même, seule à Svanhilde qui l'a sauvé de la mort est encore une personne qu'apprécie Atlanéa.
Elle n'aime plus le combat face à face, elle se tourne donc vers la discrétion et l'assassinat bien que pour le moment, elle n'ait pas beaucoup à combattre

[HFdP (fiche de personnage) : je post ça maintenant car je suis dans un moment d'inspiration (je sais je n'ai pas beaucoup écrit) et que surtout je risque d'oublier mes idées, voilà c'est tout]