Erillith war
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Sur le continent d'Erillith, une guerre déchire deux nations. Des sectes s'élèvent pour prendre le pouvoir, d'antiques magies apparaissent... Et comme si ça ne suffisait pas, vous êtes ici pour changer le destin du monde...
 
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 [Abandonné]Un loup dans la bergerie

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MessageSujet: [Abandonné]Un loup dans la bergerie   [Abandonné]Un loup dans la bergerie I_icon_minitimeVen 15 Nov - 23:23

Quel plaisir cela était que de revoir enfin Selered. Ses rues,ses maisons,ses parcs en fleur lui avait manqué. Son pèlerinage avait été long et éreintant,Alrischa n'avais qu'une hâte:retrouver la boulangerie de sa mère.
A mesure qu'elle progressait dans les rue l'odeur de pain chaud,présente dans l'air se faisait de plus en plus insistante,elle entrait dans le quartier de son enfance.Les visages familiers se multiplièrent dans la foule;ici un ancien camarade de jeu et là la fleuriste à qui son père achetait des fleurs pour sa mère. Il semblait tous heureux de la revoir.
Elle était enfin arriver
Le clocher sonna la demie journée ''je suis rentrée, Mère !'' S'écria-t-elle alors qu'elle poussait la porte peinte en bleu de la partie habité de l'échoppe. Une voix s'éleva de la boutique: ''Alrischa ! tu est rentre ma chérie ?'' Il n'y avait rien de comparable aux yeux ou(aux oreilles) de la jeune elfe que la voix d'un proche remplie de joie.Sa mère accourut vers elle, laissant ses client en plant,elle ferma la boutique pour passer du temps avec se fille.Elle lui confia que sa sœur Lucia serait là pour le dîner.
Alrischa se lava et se changea, son pèlerinage fut long et elle n'avait presque pas quitter son armure.Elle profitât du temps radieux pour faire errer dans la ville et s’abandonner au flots des ses pensés.


Elle se réjouissait de partager enfin un repas avec sa sœur et sa mère, bien entendu elles entretenaient, des correspondance régulières, mais lorsque Lucia appris le retour de sa sœur elle lui promit une grande surprise.Elle passa par un petit parc où son père avait l'habitude de l’emmener. Alrischa se souvenait encore du parfum des fleurs,des oiseau passant furtivement dans le ciel, du vent passant dans les feuille des arbres.La jeune elfe cueilli une rose dans un parterre et se dirigeait maintenant vers le cimeterre.
Alors qu'elle se rapprochait du sépulcre, la douleur refit surface,comme du sel versé sur une vielle plaie.Si bien quelle ne put retenir ses larmes lorsqu'elle arriva à la tombe de son père.La pierre était bien entretenue et garni d'un bouquet de fleurs bleues, même dans la mort sa mère était au petit soin avec son mari.Silencieusement,aussi silencieusement que les larmes qui coulaient sur sa joue, elle confia ses dernières aventures à celui qui lui racontait ,jadis, des contes.Elle reparti séchant ses larmes,laissant là rose sur le marbre froid


Plus tard alors qu'elle passait devant le palais royale, se demandant si la reine la voyait du haut de sa tour,La jeune femme remarqua un curieux attroupement que les gardes avait du mal a contenir.Curieuse elle approcha, mais ce qu'elle vit l’horrifia. Un avians gisait là à moitié éventré dans son propre sang ,tel un pantin désarticulé.Le fantoche de chair et de plumes ensanglanté fascinait. Les passants qui s’étaient arrêtés, admirait cette scène macabre comme une peinture dont on ne pouvais dire si elle était horrible ou si c’était un chef d’œuvre. Seulement ce spectacle macabre ne donnais qu'Alrischa un sentiment nauséeux.
Elle accourut à la boulangerie,tentant de sortir de son esprit cette vision. L’après midi était bien avancé lorsqu'elle arriva à la boulangerie de sa mère. Elle raconta tout à cette dernière.
''Depuis peu la ville connaît une vague de meurtre lui avoua-t-elle: Cette sordide affaire ne fait qu'empiré,chaque jour de nouveau corps sont retrouver dans les rues. Elle remarqua alors l'inquiétude dans les yeux de sa fille.''Mais ne t'inquiète pas pour moi et Lucia, les dieux nous souris.''


Quelque heurs plus tard alors que le soleil entamait sa décente, la porte bleu s'ouvrit. Lucia entra accompagné d'un homme,un elfe a en jugé par sa démarche et ses trait fins. Elle était radieuse dans les vêtements amples qu'elle portait. La jeune elfe l'admira quelque seconde, les seul caractère qu'elle avait conserver des ses origines cannis était ses long cheveux de jais et sa queue en bas de son dos qui foutait l'air.Sa sœur avait toujours été très belle, mais aujourd'hui tout particulièrement.
Ce n'est que lorsqu'elle s’assit que le femme paladin comprit : elle était enceinte !
Le repas se déroula dans la bonne humeur et allégresse et alors que les deux sœurs furent seul à table Lucia dit à Alrischa: '' Contente de te revoir sœurette''

-De même. Tu a enfin trouver quelqu'un qui fait battre ton cœur ?
-Oui et non allons nous marié, et je voudrait que tu soit à la cérémonie.Elle fit un signe à son fiancé
-Cela va de soit, néanmoins je ne sais jamais à l’avance quand je parti en mission et il me paraît bien difficile de suivre un cérémonie de cette acabit tout en défendant la veuve et l'orphelin.
Sa sœur rit et répondit: ''Je ne te laissais pas le choix''.Et toute deux rirent de concert.Une fois leur hilarité calmé Lucia repris plus bas en désignant son futur mari'' Et toi existerait-il une personne qui fasse vibrer ton cœur comme lui fait vibré le mien ?''
Alrischa n'y avait jamais réellement réfléchi. Existait-il quelqu'un dont elle était amoureuse ?
Voyait sa sœur sans réponse Lucia poussa interrogatoire un peut plus loin: ''Même pas ce Malthaël dont tu vente tant les mérite dans tes lettres ?''
La jeune elfe rougit fortement à l'idée que Malthaël et elle entretiennent une relation plus profonde que celle qu'il partageaient à l'heure actuelle.
-Malthaël est un bon compagnon et un grand guerrier et in de mes plus fidèle amis jamais je ne....Mal à l'aise, les mot ne voulaient plus sortirent de sa gorge. Sa sœur rit à la simple idée d'avoir mit sa sœur dans un tel état.


Le lendemain, Alrisha se leva bien décidé à endiguer les meurtre commis dans l’enceinte de Selered. En conséquence le paladin de Selerith se rendit au temple d'Azoth, pour en apprendre plus de la part des prêtres du corbeau.
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Númendil Ossë

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MessageSujet: Re: [Abandonné]Un loup dans la bergerie   [Abandonné]Un loup dans la bergerie I_icon_minitimeSam 16 Nov - 11:11

La mer d'arbres. L'endroit où lui, Númendil Ossë était né. Cette supposition n'était pas basée sur des souvenirs quelconque qui aurait pu lui revenir par un excès de patriotisme, mais plutôt grâce à ce qu'il avait déterminé de son physique et de l'armure qu'il portait à son réveil. Un beau jour il avait été un elfe et avait parcouru ces bois comme il le faisait aujourd'hui, cependant cette information n'avait aucune espèce d'importance pour le moment et il la fit retourner d'où elle venait, dans ce qui restait de son cerveau.

Car en effet ce n'était pas pour les elfes qu'il était venu dans cette grande forêt, mais bien pour l'autre peuple qui cohabitait avec eux : les Cannis. Il avait été envoyé ici par l'archiliche Sten Ilbert pour enquêter et s'occuper des mort qui semblaient être de plus en plus répandus dans leur pays. Une série de meurtres avait en effet éclatée là-bas et la population locale commençait à s'inquiéter, Númendil avait donc était envoyé là-bas pour faire son travail de fossoyeur : ramener les morts à la vie, du moins ceux qui le pouvaient, et enquêter pour savoir ce qui se passait là-bas et qui était derrière toute cette folie meurtrière.

Trouver leur capitale parmi les arbres dans cette immense forêt ne fut pas aussi difficile qu'on aurait pu le penser. Les bêtes sauvages le laissaient tranquille à cause de l'odeur de la mort qu'il emportait partout avec lui, le rendant absolument sans intérêt pour les grand prédateur qui s'en prenait aux voyageur sans défense qui tentait de traverser la dangereuse mer d'arbres. Très bientôt la capitale qu'il cherchait se découpa à travers les arbres et apparu sur le lac immense sur lequel elle avait été bâtie. C'est par ici que devait commencer Númendil car il devait trouver la reine, puis le responsable de son culte pour lui poser des questions. Peut-être qu'une des victimes pouvait être réveillée et parler de son assassin.

L'audience avec la reine était indispensable, il devait obtenir sa permission d'enquêter sur son territoire, sans quoi il il enquêterait quand même mais serait sans cesse déranger par les forces de sécurité des Cannis, ce qui pourrait le ralentir et l'agacerait très certainement. Il n'appréciait que très peu qu'on l'empêche de faire son travail. Heureusement obtenir une audience fut assez simple, l'archiliche avait déjà tout arrangé pour lui. Après un court échange de civilité, elle lui donna toutes les permissions qu'il voulait pour enquêter sur ses terre, cependant leurs échanges furent interrompus par des cris provenant de la fenêtre.

Númendil s'en approcha et eut une magnifique vue plongeante sur le cadavre éventré d'un avians qui baignait dans une mare de sang. Il sortit aussitôt du palais pour aller examiner le corps, sans se presser outre mesure cependant : il ne risquait plus de s'enfuir à présent. Il s'agenouilla auprès du macchabée et examina ses blessures d'un air neutre. Un travail de sagouin. Un simple coup d'oeil lui apprit qu'il n'avait pas le profil pour être rappelé. Il allait devoir laisser ça à l'ambassade. Il laissa là le témoins de la violence qui avait lieu dans la capitale et remit sa capuche pour réfléchir. L'assassin ne cherchait même pas à se cacher. Mais avant de faire des conclusions hâtives, il devait se rendre auprès du prêtre du corbeau le plus proche pour lui demander si ce genre de méthode était bien celui utilisé pour les autres victimes du serial killer. Il avait également d'autres questions à lui poser, par exemple si c'était toujours des étrangers qui étaient touchés, ou bien si des Cannis étaient attaqués également.

En arrivant devant le temple à la gloire de son dieu, Númendil retira sa capuche avant d'entrer, puis il alla trouver le prêtre qui était en train de prier devant une effigie de leur dieu. Aussi étonnant que ça puisse paraître, il n'était d'ailleurs pas mort. Ou pas encore. Le Cannis et le non-mort se saluèrent et Númendil commença à parler.

-Je suis Númendil Ossë. Se présenta-t-il d'une voix froide. Fossoyeur. Je viens m'occuper des morts et enquêter sur les crimes qui ont lieu dans cette ville.
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Accipio Omen

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MessageSujet: Re: [Abandonné]Un loup dans la bergerie   [Abandonné]Un loup dans la bergerie I_icon_minitimeLun 25 Nov - 20:04

Ça faisait plusieurs années qu'Omen avait rejoint la capitale Cannis, il s'était trouvé un petit logement, les casernes cannis étant trop bruyante à son goût, malgré la froideur qu'il a l'habitude de montrer Omen se sentait bien dans son quartier. Au début les habitant du quartier étaient plus que méfiant à son encontre personne ne lui parlait et ils faisaient de grand détour pour l'éviter, ca ne dérangeait pas spécialement Omen, il ne lui adresse toujours pas la parole mais au moins ils arrivent à rester à ses cotés. Le peut de fois ou il adressait la parole à quelqu'un c'était soit à un supérieur, soit au petits commerçants ou il avait l'habitude de faire ses courses. Omen était vraiment attaché à ce petit quartier, c'était son premier chez sois, certes l'intérieur n'était pas beau mais au moins il était confortable et accueillant. Ce matin Omen c'était réveillé aux aurore comme d'habitude histoire d'aller récupérer des ingrédients pour ces préparations, histoire de ne pas perdre la mains et d'avoir toujours ses potions aux toxines, il ne les vendait pas mais les donnais aux infirmiers cannis pour qu'il puisse apporter des soins rapidement, il prenait alors un petit repas comme d'habitude, alla se laver comme d'habitude mais ce matin on frappa à sa porte. Sortant de sa douche attrapant une serviette au passage il arriva à la porte, l’entrebâilla et passa sa tête. Face à lui une jeune cannis était là.

-"Accipio Omen? Vous êtes Accipio Omen?"
-"Moui..."
-"Je suis une émissaire, on ma donner des instructions pour vous!"
-"Ah... Et donc... Ces instructions?"
-"Et bien faite moi entrer je ne peux vous les donner ici, trop peu prudent..."
-"Bon... bouger pas.

Il ouvrit la porte, la cannis eut une tête ahuris et entra détournant le regard de l'individu qui lui faisait face, un passant qui vit la scène passa en riant, Omen compris pourquoi, il ferma la porte et rejoignit la cannis celle-ci toujours en détournant du regard lui annonça qu'il avait été affecté à une enquête de meurtres. Un assassin sévissait depuis un certains temps et semblait tuer aléatoirement des personnes qui n'appartenaient pas à la race cannis. Les ordres semblaient venir de haut. On lui décrivit des scène horrible. Cette affaire commençais à trop s'ébruiter et on comptais sur l’efficacité d'Omen sur cette affaire. Elle lui donna un manda lui permettant de perquisitionner tout ce qu'il voulait, dans la limite du raisonnable bien entendu. On attendais de lui aussi qu'il garde un minimum de discrétion.
-"Pourquoi moi en particulier?"
-"Vous êtes l'homme de la situation d'après ce qu'on m'a dit."
-"Ouais c'es surtout le fait que je soit pas un cannis qui fait de moi l'homme de la situation... Avec un peu de chance il s'attaquera à moi. Ca devait être ca dans l'esprit de vos supérieur."
-"Dis comme ça c'est sur que..."
-"Bon aller au boulot..."
-"Par pitié habillez vous!"
-"J'ai pas fini de me laver... J'allais pas mettre des vêtement propre alors que j'étais sale..."

La cannis partit, Omen termina sa toilette , s'habilla et s'équipa. Les rues se remplissaient peu à peu de travailleur et de passant vacant à leur occupation. Il regarda une fois à droite et une fois à gauche et se demanda par où commencer, la meilleur idée qui lui vint fût les commerçants du quartier, il fit le tour des commerçants, tous avaient entendu les rumeurs, cependant rien de bien concret. Omen pestait intérieurement à l'encontre de l'émissaire, elle ne lui avait rien donné sur les scène de crimes, surtout pas le lieux ou elles étaient. Il pensa qu'aller voire les garde serais une bonne idée, en arrivant au palais royale un attroupement bruyant l’intrigua, il poussait ceux qui barrait son chemin. Il arriva devant des gardes qui tentait de protéger un corps inerte d'avians. Omen montra son manda et eut accès à la scène de crime toute fraîche. L'avians était éclaté, une plaie béante à son ventre permettait de voir ses organe interne, la dislocation des membres aussi était prononcé sur ce corps, Omen demanda au garde de disperser la foule et de lui amener les premier témoins de la scènes. Il regarda attentivement le corps, il avait beaucoup de haut le coeur, cependant rien sur le corps ne donnait d'information sur le meurtrier, il comptait sur les témoins pour en savoir plus.

Plus tard on lui apporta quelques témoins tous décrivirent un cannis encapuchonné portant un gros sac, qu'il ouvra le haut du sac et d'un grand mouvement vida le contenu et parti en courant, après plusieurs fois le même discours répété Omen avait une mauvaise mine, il perdait son temps. Une idée l'éclaira subitement... Si Omen faisait courir le bruit qu'il recherchait activement l'assassin celui-ci s'en prendrai surement à lui. Bon c'était risqué et il devait renoncé à la discrétion qui lui était demandé, c'était a tenté Omen demanda d'utiliser tout les moyens de faire courir le bruit qu'un humains cherchait à mettre derrière les barrots le meurtrier et que l'appel à témoins était toujours de mise. Omen retourna à sa place faisant rentré un énième témoins d'une encore longue série.
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MessageSujet: Re: [Abandonné]Un loup dans la bergerie   [Abandonné]Un loup dans la bergerie I_icon_minitimeDim 15 Déc - 14:34

Le temple d'Azoth était peu accueillant, mais cette aura glauque, sinistre et lugubre qui caractérisait l'endroit était peut-être dû au dieu auquel il servait de maison. Le temple était très peu différent de celui de Sélérith. Pourtant, la maison de la louve lui apportait réconfort alors que celle du corbeau angoissait l'elfe.

Le prêtre était déjà occupé, une autre personne conversait avec lui. Sa démarche et les longues oreilles qui perçaient ses longs cheveux blanc, cependant cette elfe avait quelque-chose de diffèrent...c'était peut-être son aire inexpressif qui lui glaçait l'échine. Alrischa se forçat à regarder les sculptures de corbeau en pierre noire et les bas-relief représentant une silhouette encapuchonnée menant les âmes en tenant une lanterne. Le prêtre fini enfin son entretien et s'avança vers la jeune femme " que puis-je faire pour faire mon enfant ? " Décidément le ton chaleureux qu'utilisaient les prêtres avaient le don de calmer les cœurs. Alrischa lui fit part de son inquiétude au prêtre et de sa volonté d'aider la ville. Le prêtre lâcha dans un soupir, après une longue hésitation :« Soit ! Je vais vous dire ce que vous voulez entendre. Nous ne savons peu de choses sur le monstre qui sévit ici, seulement que rien ne semble reliée ses victimes si ce n'est qu'aucune ne soit cannis. Certain lui attribut la disparition de nombreuse jeune femme. Rare sont ceux qui proposent de l'aide en cette période de troubles.  Vous devriez trouves les garde qui ont lancé un appelle a témoins ou le fossoyeur qui est passé plutôt, il se nomme Nùmendil Ossë."

La femme paladin remercia le prêtre et se rendit au poste de garde le plus proche pour partager ses informations avec le forces de l'ordre. L'homme qui l'interrogea là-bas était froid, comme absorbé par ses pensées elle se souvenait de l'avoir aperçu dans le quartier où travaille sa mère, il était rare de croiser un humain avec une telle chevelure. L'elfe ne lui apporta rien qu'il ne savait déjà, mais il apprit bien des choses à Alrischa : le tueur qui rodait dans les ombres de la ville serait également responsable de la disparition de plusieurs jeunes femmes. Il était intéressant de noter que selon leurs entourages elles avaient toute reçu un bouquet de camélias de la part d'un admirateur secret.

Une fois l'interrogatoire terminé, la jeune femme se lança à la recherche de ce Nùmendil. Selered étant une grande ville retrouver une personne en particulier, même un non-mort, s'axera être une tâche difficile. Cependant, le jeu en valait la chandelle, l'expertise d'un fossoyeur pourrait apporter quelques lumières sur cette sordide affaire. Les rues étaient animées, la jeune elfe se fraya un chemin au travers de la foule, mais aucun signe du non mort aux cheveux blancs. Alrischa passa alors par une place où se tenait un marché. L'endroit était plein de vie ,d'aucuns ne serait douté que le cœur de la ville était serré d'effroi, l'air remplit des odeurs et des couleurs des denrées disposées sur les étales, vibrait à cause de l'agitation ambiante. Dans ce chaos de joie et allégresse elle reconnut un visage familier, là devant l'étal d'un fleuriste.

" Mathaël" l'appela-t-elle en se dirigeant vers son ami.

(PS:encore désolé pour le temps qu j'ai mit et pour la taille ridicule du post T_T)
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Accipio Omen

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MessageSujet: Re: [Abandonné]Un loup dans la bergerie   [Abandonné]Un loup dans la bergerie I_icon_minitimeDim 15 Déc - 21:38

Plusieurs heures d’interrogatoire passèrent et actuellement les informations sont mitiger, plus les témoins défilait face à lui plus Omen en avait marre, entre le taré qui pensait être le prochain sur la liste, la ménagère qui avait entendu par la sœur du père de son cousin une rumeur, les passant qui étaient là quand le meurtrier sur la place se déchargea. Omen devint nonchalant il posait juste une question à chaque témoins sans même en essayant d'approfondir. Un garde lui annonça qu'il ne restait que dix personnes à interroger, Omen avec son air dépité hurlait intérieurement. Il se demandait pourquoi il avait accepté une affaire aussi débile, juste avant les dernier témoins il demanda une pause. Il se servit un verre d'eau et se massa les tempes, toutes ces inepties lui avait filé un mal de crane. Il croisa les bras et tenta de piquer un ptit roupillon dessus, deux gardes dans le couloir bavardaient sur la série de meurtre, Omen tourna la tête en direction du couloir s’apprêtant à hurler sur les deux ignorants quant un des deux énoncé le fait qu'un Non-mort était arrivé en ville et qu'il était fossoyeur. Omen réagit au quart de tour, se leva, passa la porte et hurla au garde: "Hep toi là bas qui a parlé du non-mort! Faut qu'on cause un peu.".Le garde expliqua qu'on avait aperçu un non-mort avec de longs cheveux blanc, le genre de personne qu'on ne peut pas rater ajouta-t-il, Omen le remercia et le renvoya à son poste, il demanda également qu'on lui amène les derniers témoins, une fois de plus les témoins n'apportait rien de nouveau même pas des pistes exploitables. Alors qu'il conclu son avant dernier Omen trépignait d'impatience à partir, une vieille cannis se présenta, au début interpeller que se soit un humain elle demanda au garde si c'était sur:

-"Bon qu'avez vous à me dire à propos de l'affaire madame?"
-"Je ne sais pas si ça un rapport avec l'affaire mais ces derniers temps il y a beaucoup de disparition. On entend en ville que des jeune femmes recoivent un bouquet de fleur et que quelque jours plus tard si ce n'est quelque heure plus tard elles disparaissent ne laissant aucune trace. Je prend éxemple de la fleuriste de mon quartier, qui était une charmante jeune femme fraîchement fiancer, elle reçu des fleures qu'on lui avait acheté puis le lendemain on retrouva son fiancé mort, et quelque heures plus tard elle avait disparu.
-"Comment ça sont fiancé est mort? Que lui y est-t-il arrivé?"
-"On l'a retrouvé dans une ruelle le thorax explosé, il se faisait grignoté par les rats... C'était dé..."
-"Attendez là, je croyais que y avait pas de rapport avec notre enquête?"
-"Et bien ...."
-"Cette ville est éreintante... C'est tout rien d'autres?"

Omen se leva et enfila son manteau et sorti, Le soleil commençait à se coucher Omen fit le bilan de ce qu'il apprit aujourd'hui, on a retrouvé des corps exploser tous étant ceux d'homme, une rumeur circule comme quoi des femmes disparaissent et ceux de toutes les espèces comme les hommes sauf qu'il n y a pas de corps, celons le témoignage de la vieille cannis il y a peut être corrélation entre les meurtres et les disparitions des femmes et pour terminer on a un non mort qui se ballade en ville. Omen pensa qu'il serai juste de le trouver il aurait peut être put trouver quelque chose, néanmoins la relation probable entre les meurtres et les disparitions pesait dans la tête d'Omen et si il allait faire un tours dans les quartier des disparitions. Omen marcha de nouveau à travers toute la ville, il demanda surtout aux petits commerces ceux-ci avaient bel et bien entendu parler de ces événement mais rien de bien concret, Si se ne serait qu'il semblerait que toute les disparitions se fasses dans le même quartier.

Fatiguer de ses déplacement il alla s’asseoir à un banc ou se trouvait deux ménagères? L'une d'elle évoqua une elfes qui avait disparu et qu'elle avait peur de connaitre le même sort, son interlocutrice répliqua que c'était peut être le don Juan du quartier qui l'avait emmené. La première ménagère répondit qu'il avait été retrouver mort et que son corps démembrer avait été éparpiller sur une place. Soudain une regarda par dessus l'épaule de l'autre et vit Omen avec un air très intéresser à la conversations, elle est dubitatif face à cet énergumène l'autre se retourna et pris peur en le voyant et prirent la fuite, Omen s’affala sur le banc pensant à ce qu'il pouvait faire, le meurtrier semblait kidnapper de femmes et tuait tout les hommes qui leurs parle ou qu'il juge entrain de les séduire... Il pensa d'abord faire surveiller toute la ville mais à quoi bon, puis lui vint une idée qui lui semblait bonne, du moins au début, mais c'était la seule solution. Il pensa que la seule solution serait de faire la cour à un maximum de femmes dans le quartier en espérant de s'attirer les foudres du criminel. Tournant la tête il vit passer un gusse au cheveux blanc plutôt baraquer, il se releva et le rattrapa. Il l'arrêta et lui dit

-"C'est toi le fossoyeur? Je peut t'aider?"
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MessageSujet: Re: [Abandonné]Un loup dans la bergerie   [Abandonné]Un loup dans la bergerie I_icon_minitimeDim 29 Déc - 2:48

Quelle était cette superbe créature qui se frayait un chemin à travers la foule compacte. Sa démarche aérienne, gracieuse, tout simplement captivante, la faisait ressortir de cette masse tellement commune et inintéressante.
Elle s'approchait, peut être pour lui adresser la parole, c'était souvent le jeu du destin que de faire se rencontrer deux êtres exceptionnelles. Ses yeux, d'un bleu purement ensorcelant, aurait pu transpercer le cœur du plus sévère des inquisiteurs avians.

Les courbes de son corps se mouvaient dans une danse magnifique, une symphonie divine. On ne pouvait s'empêcher de se demander si l'agilité avec laquelle elle se faufila dans la foule tel une brise d'été, lui était garantie par son lignage elfique ou si elle lui était venue au long de sa vie. Certes il était exceptionnel qu'une elfe puisse être qualifié comme laide, d'ailleurs deux étaient présentes dans cette foule disgracieuse, mais elles n'égalaient en rien la beauté et la douceur des traits de son inconnue. Cette dernière cherchait quelque chose ou quelqu'un du regard. Les huit avaient-ils réellement écrit une telle rencontre ? Que l'artiste apercevrait la plus parfaite des muse au détour d'un marché au fleur ? Les dieux avaient dû tisser ce récit enclin à la poésie bien avant leur naissance à tous les deux.

Mais quel pouvait bien être son nom ? Quelque-chose de magnifique pour sûr! Un nom pour désigner une étoile lointaine et fatalement inaccessible, qui aurait décidé d'illuminer ce monde de laideur et d'ombres de sa magnifique lumière. Son esprit commença à divaguer quel plaisir cela devait être :
Que d'écarter une de ses ravissantes mèches sombres de son doux visage, de voir dans ses yeux bleus, envoûtants, brûler la flamme de la passion qui fait battre deux cœurs à l'unisson.

Que de déposer un baiser langoureux sur ses lèvres, de sentir son parfum délicat, tout en se promenant à son bras dans la vile. De la couvrir de bijoux et de robes dans le seul but de lui arracher un sourire.

Que de laisser aller à un élan de sensualité, de sentir sa peau nue contre la sienne. De laisser leurs chaires s'entremêler, leurs âmes ne faire plus qu'une. D'abandonner son corps, sa raison, son cœur, sa raison, bref son être tout entier à l'autre.
Elle sourit. Alors son visage s'illumina, elle irradiait d'une beauté singulière. Non pas comme une aube étincelante ou comme un crépuscule flamboyant, mais comme l'astre lunaire, protégeant de sa lumière pâle, deux amants échangeant deux veux solennelles et leurs cœurs.
Elle était tout simplement parfaite, elle devint sa muse,son étoile, sa seule déesse.C'est alors qu'un opaque nuage noir, héraut de malheur vint assombrir l'air et occulter sa lumière.Qui était cet impudent humain qui adressait la parole à sa rose elfique?Un frère?Un amis ? Un amants ? C’était toujours cela, combien de ces prétendu amant avait tenté de lui voler ses fleur et éteindre ses étoile. D'aucuns ne portait de véritables respect pour l'amour et l'art.Les cannis qui habitaient Selered eux étaient des modèles de vertu, que tout étranger se devait de suivre.
Ceux qui avait tenter de prendre ses muse servaient maintenant d’avertissement pour tous les autre voleurs. Ces toiles peinte uniquement avec de l'écarlate n'étaient certes pas des chef d’œuvres,car dénuer de toute esthétique, mais gardaient un fort impacte psychologique.
Seulement cette fois c'était différent son étoile était parfaite. Il y avait toujours quelque chose à redire sur les précédente :celle-ci est trop maigre, celle-là a une poitrine trop opulente...

Cette étoile anonyme serait un chef d’œuvres,le genre de chef d’œuvres qui permet à un artiste de tare sa carrière une bonne fois pour toute.Il était alors hors de question qu'un simple humain(disgracieux qui plus est) s’approprie un telle beauté.Il était de son devoir d'artiste de protégé cette étoile pour finalement faire éclaté toute sa beauté à la face du monde.Néanmoins il fallait s'en montrer digne, capable de transmettre dans l’œuvre finale toute la noblesse du matériaux d'origine.

Mais que fallait-il faire ? Il était certain qu'il fallait pratiquer, mais trouver des muses demander du temps et cette rose elfique pouvait tout aussi bien disparaître sans que le monde n’aie connaissance de sa beauté. Qui plus est une telle créatures ne devait pas avoir qu'un unique prétendant, et puis on se devait de toujours d’offrir des fleurs à une belle femme et pour cela  il fallait connaître son adresse. Il fallait la suivre,c'était là la chose la plus raisonnable à faire.

Elle conduit le voleurs d'étoile à une boulangerie. Il y avait là, jusqu'à récemment, deux femmes mais aucune n’était de bonne muse : La boulangère bien que toujours belle avait été marié à un valeureux soldat cannis et sa fille était une bien belle hybride mais portait la vie.
Deux homme attendait,visiblement, la jeune rose elfique,d'autres prétendants.L'un avait déjà passé de vis à trépas et il se dégageait de lui une certaine beauté malsaine et criarde , de celle qui s’échappe de la charogne d'un animal autre fois fougueux. L'autre était un humain aux cheveux décolorés et au regard ternes, il  ne s’échappait rien de lui même pas un soupçons de laideur. On pouvait même se demander si lui aussi était déjà mort.
La charogne prononça le nom de son étoile ''Alrischa''. C'était comme écouté le son d'un millier de cloches clair sonné dans un tintement doré.Les syllabes se succédaient telles des notes d'une sérénade. Il n’avait aux oreilles rien de plus beau,de plus parfait : ''Alrischa''.
Ces trois prétendant ne laisserait sûrement pas sa beauté éclaté sous la forme qui lui revenait, ils allaient tous trois devenir des toiles écarlates. Après tout ne fallait-il pas pratiquer son art avant d'entamer sa plus grande œuvre ?


PS:un peu de musique?
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MessageSujet: Re: [Abandonné]Un loup dans la bergerie   [Abandonné]Un loup dans la bergerie I_icon_minitimeDim 9 Fév - 20:58

Ils étaient tous les trois assis autour d'une table dans la salle à manger. Une tasse de thé devant chacun d'eux. Bien que l'elfe ne savait pas si le non-mort était capable d'ingurgiter la boisson. Sa mère était partie faire quelque course en ville Alrischa était seule pour s'occuper de ses invités. Le long silence qui s'était abattu sur la boulangerie, ce fut l'hôtesse qui brisa ce silence pesant.
« Messieurs je me doute que vous n'êtes pas ici dans l'unique but de boire une tasse de thé. Alors, que voulez-vous ? » demanda-t-elle au non-mort et à l'homme à l'étrange chevelure. Ce dernier lui rappela les sombre événements qui terrorisaient une bonne partie de la ville. Il lui exposa également un plan, un plan osé...Suffisamment audacieux pour pouvoir fonctionner.

Elle raccompagna les deux inconnus en leur promettant de réfléchir à leur proposition.
Lorsqu'elle se retourna elle vit que son frère d'arme la regardait avec désapprobation.
« tu ne penses pas sérieusement accepter leur offre ?» Lui demande-t-il. Il savait pertinemment qu'elle répondrait « oui », pourtant il espérait qu'elle lui dise le contraire

-Tu connais déjà la réponse

-C'est beaucoup trop dangereux, il peut avoir quelque chose d'imprévu.

-je t'en pris, nous avons surpassé des situations bien plus dangereuse et imprévu que celle-ci. Tu te souviens de ces bandits sur la route de Kerdaïn ?

-Bien sûr ,mais cette fois-ci c'est diffèrent je ne serais pas présent pour te protège comme cette fois là.

-Tu sait, mieux que quiconque, que je sais me défendre seule. Qui plus est, c'est notre devoir de protéger les innocent contre ce genre de monstre. Le ton commença à monter. Ces femmes auraient pu être ma sœur ou ma mère !


-Elles pourraient tout au temps être toi!Que pense tu, que ton père aurait fait ?

-Sans doute la même chose que moi ! Tout pour protéger sa famille !


Ils commencèrent à hurler et la dispute s'envenima et continua durant de longues minutes, qui pour la femme paladin semblait durer une éternité. Une violente averse éclata comme un écho des dieux face au diffèrent de leurs deux serviteurs.
Puis les mots dépassèrent les pensées :

-Tu ne peut pas protéger tout le monde. Ton frère en est la preuve !

La seconde d'après Mathaël se retrouvât dehors, trempé, la lèvre fendue pour avoir rappelé à sa sœur d'armes son seul échec. Il savait qu'il l'avait mérité.
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Accipio Omen

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MessageSujet: Re: [Abandonné]Un loup dans la bergerie   [Abandonné]Un loup dans la bergerie I_icon_minitimeDim 30 Mar - 0:10

Après avoir été raccompagner Omen et Numendil se regardèrent mutuellement, sans un mots le "Et maintenant, on fais quoi ?" se fit ressentir sur la face d'Omen et du Non-mort. Il pleuvait, rentré était la seule solution, Omen fit un signe à Numendil quand le ton monta soudainement derrière la porte. La jeune furie qui les avait interpellé quelque heures auparavant, Omen se rappela de la discutions dans le style :" Vous cherchez un dangereux psychopathe qui tue tout ce qui bouge, je serai donc votre appât attitrer! -Mais euh vous êtes qui? -Il nous faut un plan!", ainsi fut la rencontre. On les entendait se disputer de plus en plus fort en se lançant des piques de plus en plus violente vis à vis de l'autre, Omen se décala sur la droite où une petite fenêtre donnait vue sur le salon ou ils étaient précédemment, c'était marrant de les entendre se disputer voire lequel des deux veut avoir le dernier mot, c'était presque mignon jusqu'à ce que "Putain de merde elle vient de lui faire bouffer la carafe de flotte! Eh Nume vient voire ! Ah attend elle le ramène vers nous... Quoi me regarde pas comme ça t'aimes pas ton surnom?

Par le col il fut mit à la porte, la bouche en sang. Alors que la porte se referma il regarda vers les deux étrangers. Il essaya de s’essuyer la bouche pour sembler un peu plus présentable.
-"Je hum m'excuse d'être dans cet état."
-"T'excuses pas!"
-"Je me suis un peu emporté contre elle et là j'en paye le prix!"
-"Ben t'as la bouche en sang donc ouais t'as bien payé."
-"Je pense que je devrai venir m'excuser un peu plus tard."
-"Ca serai bien oui, mais tu penses pas que tu devrais soigner?"
-"D'habitude je sais me taire mais là c'était trop il fallait que le dise qu'elle ne se mette pas en danger inutilement!"
-"Ouais c'est géniale youpi mais vient chez moi je doit avoir un truc pour toi, dis tu m'écoutes?"

Se rendant compte que Mathaël ne l'écoutait pas Omen se retourna prit un pot de fleur et l'éclata sur Mathaël, le pot se brisa libérant son contenu et ouvra la tempe de la victime.
-"Bon maintenant tu m'écoute la gémiarde tu vas faire soigner ta blessure plus celle que je vient te faire chez moi ensuite de deux continue à te plaindre et je te jure que je te refais la déco de ta tronche avec le reste des pots de fleur  du quartier, pour te dire que j'ai des munitions. Enfin troisièmement malgré le fait que je viens de rajouter un peu de couleurs à ton visage je t'assures qu'on va bien le protéger, du moins (ne le prend pas mal) mieux que toi, me regarde pas comme ça tu t'es bouffé une carafe et un pot sans les voire arriver."
-"Mais euh je... Vous venez de me coller un pot dans le visage et vous voulez me soigner ensuite?"
Omen attrape un nouveau pot et le met en évidence. A ce moment Mathaël compris qu'il était tombé sur trop borné pour lui, dans un soupir il se tut et accepta ce qu'Omen avait à  lui dire. Après un petit exposé de ce qu'ils comptaient faire, Mathaël compris que ce plan était probablement la seule solution. Omen les conduisit chez lui, la pluie battait toujours très fort la cannis de le veille était sur le pas de la porte elle leva le doigt et tenta de prendre la parole et fut interrompu par un "Non-je-n'ai-rien-de-nouveau-oui-j'ai-un-plan-et-oui-on-peut-en-parler-à-l'intérieur.". Une fois à il demanda gentillement d'enlever à tout le monde de pas foutre de l'eau partout et d'aller allumer un feu .
-"Ah nan vous restez habillé cette fois! beugla la cannis sur Omen qui lui répondit par un simple signe de la main. Il alla chercher de quoi soigner Mathaël et changea rapidement de vêtement mettant à sécher les sales. Il redescendit au salon voyant que ses invité avait déjà fais un feu et pris place.
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